My Crush on Krush

... and other musical addictions.

O F U KDT // Think The Tinker

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La suprise, je n’ai pas cherché qui fait quoi et pour qui, je retombe sur cet album de 2012, “Kidsuke” de Kidkanevil et Daisuke Tanabe.

Pas grand chose à dire tant cela aide à imaginer l’automne comme la saison où je regarde la pluie tomber. Catédrales aphex-twiniennes de boites à musique, rappels que j’ai toujours envie de voir Colleen.

Energie enfantine ? Glitch minimal, dubstep par ailleurs mais enfin heureux.

https://projectmooncircle.bandcamp.com/album/kidsuke

Merci aussi. Pas envie d’en savoir tellement plus, juste du bien.

Intrusion

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Bon, un double album d’un artiste qui se fait appeler “Intrusion” arrive sur mon bureau. Sans explications, comme par magie.

Il s’appelle “The Seduction of Silence” donc tout de suite je me sent concerné.

La personne qui me le communique l’a classé en techno mais je pense qu’il voulait dire ambient house, deep house, german minimalism, ou un truc plus raffiné comme dub allemand ? Tout de suite mes synapses font la connexion avec Pole, un peu, mais surtout avec Rhythm & Sound et Deadbeat avec cette rythme robotique abstrait qui revient toujours à un fantasme d’un dub pacifié et digitalisé voire futuriste.

Je craque. Tout de suite j’ai envie d’un youtube pour vous, et d’en savoir plus. Veine à creuser.

Je trouve une video mais je cherche qui fait quoi et sur quel label ? Sorti en 2009, il n’arrive que maintenant à mon attention. Forced exposure, Echospace et plus loin Detroit, des choses qui font rêver. Le Detroy justifie la mention techno mais le son est si long et profond, j’adore !

Discogs m’apprend que mon double de 2014 est la réédition augmentée d’un simple de 2009 et que le créateur est un certain “Stephen Hitchell” qui cumule comme autres pseudos :  Phase90, Radius, Soultech et enfin Variant !

Etant maintenant sur BandCamp, je trouve, après quelques faux positifs, https://echospacedetroit.bandcamp.com/track/intrusion-dub-3

Mes souvenirs sont confus, non par l’age car je n’ai de souvenirs que de deuxième main, au mieux, de ce que peut représenter Detroit dans l’imaginaire histoire des musiques électroniques. Toujours cette expérience d’un minimalisme distant mais toujours physiquement bon, à mille lieu de l’intellectualisme de la musique ambient mais pourtant si près.

Pour aujourd’hui disons juste que c’est très bon, voire jouissif.

Merci.