My Crush on Krush

... and other musical addictions.

Khonnor & Ratatat

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Pour une raison que seul connait peut-être mon psychiatre, je confondait un peu Khonnor et Ratatat. Les historiens diront que les albums Handwriting et Ratatat sont sortis tous les deux en 2004 alors que j’étais encore assez ensuqué.

Pour mémoire deux traitements electros de guitares, option abstract electronica me direz-vous, mais je dois avouer qu’à compulser les deux volumes des remixs de Ratatat, la confusion m’est dissoute. Le génial HipHop dont il est alors question me transporte bien loin de cette génération électronique un peu perdue de vue.

Je pourais déblatérer longtemps sur les sources HipHop chez Pole ou Autechre mais chez Ratatat la confrontation se fait directe et non plus par un jeux d’influences. Vivement le volume 3.

Mr. Chopp them samples

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Comment ai-je pu ignorer Mr. Chop aussi longtemps ? Du trip-hop option sampling de qualité, psychédélique à souhait et avec des drums à jeter sa MPC par la fenêtre mais il n’en est rien: Il donne envie de prendre n’importe quel disque et en extraire tout ce qui est possible. Contrairement à moi il ne cache pas ses samples mais prend le parti de sampler ou jouer des choses inconnues au bataillon d’où une géniale soupe. Si l’on cherche un peu plus on comprend que le personnage est aussi un grand fan de synthés analogiques ce qui est au final assez cohérent, je me comprend. Je vous mets juste un youtube mais il faut absolument checker ses disques, sur Stones Trow/Now Again ou ailleurs. Après cela vous devriez être convaincus qu’il y avait déjà plein de MPCs dans les années 70…

et si au final ce n’était pas du sampling ???

Shoegazer forever

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A mon age, il y a longtemps, j’étais peut-être grunge visuellement mais musicalement pas du tout. J’étais plutôt “shoegazing”.

Je raconte ma life mais avec tout le courant dream pop actuel, il y a comme un retour.

En filtrant mes archive je suis retombé par hazard sur Alison de Slowdive. Le choc fût terrible. Je me revois étudiant reclus à la campagne, à écouter ses extraits des inrocks en essayant diverses combinaisons de médicaments. Des souvenirs que je croyais effacés. Incroyable. J’ai réécouté d’autres trucs de la période mais rien ne me parle autant que ce titre. Merci Slowdive. Comme le disent les paroles, “listen close and don’t be stoned, I’lll be here in the morning”.