Après Piero, dans la famille easy soundtracks, voici Janko Nilovic.
Space pop sucrée donc, un peu dure à trouvée mais assurément de saison. Du lourd, des rythmes incroyables des mélodies dont Henri Mancini serait jaloux mais avec cette grosse dose de délire narcotique en plus. Le genre de trucs qui fait bander les samplers de ceux et celles qui en trouvent en vinyl. Quelques trop rares rééditions existent heureusement mais il faut digger.
Bref, le genre de musique à vous faire regretter la machine à remonter le temps et le prix du billet de cinéma.