My Crush on Krush

... and other musical addictions.

O F U KDT // Think The Tinker

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La suprise, je n’ai pas cherché qui fait quoi et pour qui, je retombe sur cet album de 2012, “Kidsuke” de Kidkanevil et Daisuke Tanabe.

Pas grand chose à dire tant cela aide à imaginer l’automne comme la saison où je regarde la pluie tomber. Catédrales aphex-twiniennes de boites à musique, rappels que j’ai toujours envie de voir Colleen.

Energie enfantine ? Glitch minimal, dubstep par ailleurs mais enfin heureux.

https://projectmooncircle.bandcamp.com/album/kidsuke

Merci aussi. Pas envie d’en savoir tellement plus, juste du bien.

Piero

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J’avoue, je suis fan de Piero Umiliani. J’écoute ses musiques de film et ses albums jazz, easy listening et parfois encore ses essais plus expérimentaux. C’est de la musique facile, estivale, avec un grain de psychédélisme. Peut-être est-il au fond le Jean-Pierre Massiera italien ? ou l’inverse ?

Cette note n’est pas tellement sur sa musique (qui est excellente et mériterait une note en soi) mais sur le fait que c’est le  genre de musique qu’il n’est pas aisé d’avouer aimer. C’est facile, certains diront soupe, mais je ne peux pas écouter Autechre ou Murcof toute la journée. Il n’y a pas de honte snob à révéler ce genre de choses mais sans doute une culpabilité à se gaver de ce type de musique si sucrée. Il faut un équilibre.

C’est l’été.

Sa chaine youtube ( http://www.youtube.com/artist/piero-umiliani ) est pas mal.

Temporal

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Donc j’ai raté misérablement ça:

Bal blanc + été froid + musique torride = Je me pose des questions.

Cela me rappelle cette interview de Bono par Time Magazine ans les années 80, marre des trucs cool, nous sommes “the hotest ticket in rock’n’roll”. Hot opposé à cool, comme DJ Habett et sa posture Kalt.

Même le rap de ces dernières années a perdu de la chaleur du genre pour devenir une soupe commerciale tiède. Le dubstep a globalement pris la place de la furie Drum’n’bass, c’est précis comme basse, chirurgical comme rythme mais cela glace l’ambiance. Je ne sais pas ce qu’il reste.

Je n’y étais pas mais je suis bien jaloux de ceux qui y étaient, bien que j’étais à un concert de Repère D. plus dans l’esprit de la fête de la musique. DJ Habett s’est perdu dans son Kalt style mais il ne renonce pas.