My Crush on Krush

... and other musical addictions.

CC: Dig that virtual wax deeper

no comment

Passée la surprise de savoir qu’il existe un pseudo Krush en Ukraine je continue non plus sur un artiste mais sur un label et pour être précis un netlabel: Dusted Wax Kingdom : https://twitter.com/dustedwax avec son site tout moche mais plein de zip contenant des albums magnifiques poussés dans un embryon de lumière tamisée de Chill Out Room, http://dustedwax.org édité depuis la Bulgarie. (plus loin que Vienne en tout cas).

De l’abstract dans la ligne la plus sombre d’un mo’wax mais avec comme ligne éditorial de ne faire que du creative commons.

Dans les releases commencez pr les Mr. Moods, les classiques Tab & Anitek, les surprenants MEDL4 ou encore Afghan Connection.

Plein de choses qui me donnent envie de les aider en code s’ils veulent que leur site rendent plus justice à la quantité monstrueuse de sorties de qualité…. fumée, petits moyens pour des releases qui viennent des 4 coins du monde. Petit warning cependant surs le contrôle des samples mais c’est tellement lié au genre que cela passe quand même.

A creuser encore et encore tellement il y en a.

Howie B

no comment

Recevant un ami l’autre jour nous sommes tombés un peu en arrêt sur une vielle couverture Mo’Wax d’Howie B Inc.

Have MercyNon pas la nostalgie des débuts de Mo’Wax avant DJ Krush et DJ Shadow mais la question de se demander ce qu’il est devenu.

En consultant mes archives je retrouvait bien Not in the Face – Reale (dub version) de 2008 trouvé chez Gibert et qui m’avait laissé une plutôt bonne impression.

Mais ce que je cherchais c’était le génie du sampler, celui qui avec 7 notes de batterie de The Indisputed Truth faisait un tube tel que Birth.

Je me suis donc procuré Good Morning Scalene de 2010, excellent synthés laidback, ambiance Music for babies, puis dans la foulée, Music for Astronauts and Cosmonauts de 2007 avec Hubert Noi. C’est l’extase de retrouver de tels sommets, non plus de sampling mais de composition. On se prend à rêver de ce qu’aurait pu devenir le label PussyFoot mais c’est une autre histoire.

Juste le plaisir de disques magnifiquement enregistrés, de moments rares de repos, d’imagination, de rêverie, juste peut-être musique pour l’ennui ou le vide.